Sébastien Cattelan, notre Catman national toujours égal à lui-même, nous raconte, avec sa verve légendaire, son périple à Dakhla, Maroc, où il pu permettre à des Français, venus pour l'occasion, de se perfectionner en kitesurf.


Question femmes à Darla didadada, de ce côté la , on est tranquille . On avait une chamelle sur notre camps. Les locaux m'ont avoué tard un soir que c'était la seule façon d'assouvir ses besoins. Avide de découvrir les coutumes d'une nouvelle civilisation, j'y suis allé. Le lendemain, je leur ai dit que l'odeur et les poils m'inconfortaient. C'est seulement là qu'ils m'ont dit qu'ils se servaient de la chamelle pour aller au village voir des meufs. En tout cas, je garderai un souvenir tres particulier du Maroc.



J'ai aussi fait un peu de kite, rien que 18 heures par jour sur un lagon à 25 degrés. Même que le dernier jour, on a tous fait un downwind de porc pour aller a la fameuse dune blanche. Une dune qui, outre la particularité d'être de la couleur du sable, a eté creusée par le vent à tel point que la susnommée est coupée à l'arrière. Une pente raide de 15 mètres de haut offre alors les joies de se deboiter les deux genoux à l'arrivée.



Le but, car vous imaginez bien que j'ai pas eu une tourista d'une semaine pour rien, était d'apprendre le kite à 8 primitifs de Marseille et de Grenoble Ça a envoyé proprement sale. Mission accomplie, car même avec 5 jours de kite à son actif, Michel est descendu à la dune comme une balle. Tous ont appris des figures de freestyle , progressé en hangtime mais surtout, auront decouvert le speed sur un plan d eau parfait. Munis d'un GPS et de l'une de mes planches spécialement prévue pour faire des excès de vitesse, mes 8 disciples s'en sont donnés a coeur joie pour mon plus grand plaisir.

Donner des cours m'a permis de redécouvrir les bases.
Pour finir, je placerais ce trip sous le signe de la richesse humaine : la passion... $eb




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